L”enfer est pavé de bonnes intentions…
J’ai récemment eu l’occasion de parler de mon parcours professionnel et de ce qui m’a conduit à devenir “accordeur en organisation”.
C’était pour un journal professionnel, l’Argus de l’assurance, et la journaliste, qui avait entendu parler de moi, m’a gentiment contacté pour dresser un portrait à publier en mars 2017.
La rencontre fut très agréable et d’une grande qualité. La confiance était mutuelle ce qui m’a conduit à proposer à la journaliste de m’adresser son article pour éviter les possibles erreurs.
Elle respecta ce principe et m’adressa son article… sans le titre.
A la fin du texte figurait le terme de gourou que je trouvais un peu excessif mais, soucieux de respecter le métier et la perception de la rédactrice, je lui suggérais juste de mettre ce terme entre guillemets.
Quelle ne fût pas ma surprise de découvrir que cela était devenu le titre de l’article !
Si le terme de Gourou en Inde à une connotation très positive (Guru en Sanskrit c’est celui qui enseigne, le maître), il n’en va pas de même en France où il a souvent été utilisé pour pointer les dérives sectaires et abus de pouvoir.
Bref, voilà comment avec les meilleures intentions du monde des deux cotés (la journaliste m’avait confié que j’étais une très belle rencontre… je l’avais trouvé également très professionnelle et voulais respecter son travail) on se retrouve avec un titre qui a sans doute fait se raidir quelques lecteurs.
Heureusement mes clients et mes étudiants me connaissent et ont pu témoigner sur Linkedin pour lever les possibles malentendus…
Posté le 5 mars 2017